(pièce radio) Molière – L’école des femmes (Com. Française – Adjani)

“Arnolphe prétend qu’une femme ne peut être sage et vertueuse qu’autant qu’elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille,
Agnès, au fond de sa maison, sous la garde d’un valet et d’une servante aussi niais qu’elle.
La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de l’isolement où on la retient. S’étant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau
jeune homme qui la salue ; elle, qui ignore jusqu’aux plus simples convenances, rend le salut qu’on lui fait et se laisse bientôt prendre au bel air et aux belles paroles du
jeune Horace. On rit du supplice où les confidences d’Horace mettent le pauvre Arnolphe qui finit par faire pitié, tant il est puni de son système d’éducation…”

(pièce radio) Molière – L’école des femmes (Com. Française – Adjani)

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